Où il n'y a aucun bruit,
Triste, il n' y a pas de vent pour faire bouger les arbres
Il n'y a que le soleil qui brille.
Une femme jeune, grande
Les yeux pleins de larmes
S'éveille, elle est debout et regarde,
Le ciel qui baigne dans les rayons du soleil.
Les pieds dans l'herbe, elle pleure comme
pleurent les familles des soldats morts pendant la guerre
Elle regarde le sol,
Ses yeux sont mouillés.
Elle n'y croit pas
Les larmes coulent sur ses joues
Elle vient de voir son mari
Mourir dans ses bras.
4 commentaires:
je trouve ca magnifique , c'est le meilleure d'ailleurs , et extraordinaire pour une eleve de quatrieme , felicitations , j'en suis émue
(meme auteur du message precedent)
encore bravo, technique très recherchée , mérite un grand bravo . votre poeme a été presenté a un grand professeur de francais, et il vous félicite , une vrai poete!
bonjour,
vous avez l'honneur de vous adresser au grand proffesseur de l'institut de paris, qui trouve ce poeme magnifique et qui vous encourage à publier vos poemes dans des magazines . encore bravo
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