mercredi 14 mars 2007

Poème d'Aurore



C'est une grande vallée
Où il n'y a aucun bruit,
Triste, il n' y a pas de vent pour faire bouger les arbres
Il n'y a que le soleil qui brille.
Une femme jeune, grande
Les yeux pleins de larmes
S'éveille, elle est debout et regarde,
Le ciel qui baigne dans les rayons du soleil.
Les pieds dans l'herbe, elle pleure comme
pleurent les familles des soldats morts pendant la guerre
Elle regarde le sol,
Ses yeux sont mouillés.
Elle n'y croit pas
Les larmes coulent sur ses joues
Elle vient de voir son mari
Mourir dans ses bras.

Poème de Nataly

Parfaite Inconnue.


Tu nageais dans l'océan comme une sirène,
L'océan était glacial et il y avait d'autres êtres.

Pourtant malgré ce froid, tu bougeais tes pattes fines;
Tes nageaoires t'aidait à aller plus vite que les autres.

Tu sortais la tête pour respirer, et tu là rentrais pour y retourner,
Sous les yeux de tes amis, tu nageais comme un dauphin.

Tous applaudissaient, te regardaient avec fierté;
Toi encore plus encouragé par ces cris

Tu nageais plus vite. Tes yeux à l'arrivée,
Ce regard de joie ... Tu etais sorti de l'eau
Et tu es parti courir.

Remerciant le monde de t'avoir laisser gagner
Malgcet handicap. Sur tes deux jambes
Tu recevais le trophée.